Rosario Galatioto expose au Château de Gordes du 10 janvier au 06 mars 2022 !

- Ne manquez pas l’exposition rétrospective comprenant 46 peintures de Rosario Galatioto au Château de Gordes, un lieu unique dans le Lubéron, jusqu’au 06 mars 2022
- La Conférence de Presse est prévue le vendredi 11 février 2022 à 18h00
- Découvrez en amont quelques œuvres dans la galerie virtuelle de l’artiste
Art Trope Gallery est ravie de commencer cette nouvelle année avec l’exposition rétrospective de notre Artiste Peintre Rosario Galatioto au Château de Gordes, anciennement le musée de Victor Vasarely, situé en plein cœur du centre ville.
La Conférence de Presse sera présentée par Monsieur Le Maire Richard KITAEFF le vendredi 11 février 2022 à 18h00 dans l’enceinte du lieu de l’exposition.
Le « tableau », qui par définition exprime l’intention, est trop réducteur pour parler de la peinture de Rosario Galatioto. La recherche artistique de l’artiste correspond à un langage primitif aux frontières de l’archéologie qui laisse deviner l’approche intuitive du support et des matériaux employés. Les paysages de Rosario Galatioto, car il s’agit bien de paysages dans son esprit, s’apparentent plus à une radiographie qu’à une tentative d’interprétation. L’Artiste travaille sur la ligne, l’emmenant parfois vers des compositions plus graphiques, allant jusqu’à utiliser le collage.
Depuis plus de quarante ans, Rosario Galatioto a exposé tant dans des galeries, que dans des musées ou des foires d’art internationale. Ses œuvres font parties de nombreuses collections d’Art en France, en Belgique, en Suisse, en Italie, aux États-Unis et au Royaume-Uni.
« S’il est vrai que ce que l’on nomme le paysage géologiquement parlant la partie visible de la croûte terrestre, pour ma part j’ai toujours été fasciné par ce qui se cache dessous. Aussi bien dans ma série “Strates” que dans mes œuvres de la série “Landscapes From Nowhere”, j’imagine ce monde caché, à l’abri de l’érosion et de toute activité humaine, j’en ressens la complexité. Mon paysage n’emprunte que quelques éléments à la définition que l’on s’en fait : une ligne d’horizon qui délimite deux plans plus ou moins nets correspondant à la partie aérée d’un côté et à la matière de l’autre, cette matière sur laquelle nous déambulons depuis des dizaines de milliers d’années et que nous transformons au gré de ce que l’on nomme le progrès. Car c’est bien là une des clés de mon travail : Peindre, c’est faire ce voyage qui me mène de la lumière à l’obscurité, du mouvement à l’immobilité, du paraître changeant de la superficialité à l’être réel et permanent. » – Rosario Galatioto
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