RETROUVEZ ART TROPE GALLERY ET ART COACH DANS LA DERNIÈRE ÉDITION DU GUIDE DES GALERIES D’ARTENSION
Le magazine Artension a intégré Art Trope Gallery dans la 6e édition du guide des galeries parmi les 908 adresses incontournables en France et en Belgique. Artension a également mis en valeur le travail de Virginie Tison sur sa collaboration et son accompagnement des artistes avec Art Coach.
Virginie Tison et son accompagnement aux artistes
Art Coach a été créé par Virginie Tison, également Fondatrice et Commissaire d’exposition d’Art Trope Gallery.
Engagée et dévouée, Virginie démontre depuis 2008 son implication au cœur de la scène artistique en participant à l’émergence de nouveaux talents.
La Fondatrice d’Art Coach s’engage avant tout à professionnaliser les artistes afin qu’ils présentent leur univers artistique de la meilleure des façons.
Pour ce faire, Virginie Tison a mis en place pour les artistes un accompagnement personnalisé qui prend en compte l’apprentissage des outils numériques indispensables aujourd’hui au développement d’une carrière artistique, tout en répondant à leurs interrogations éventuelles.
Les Master Class, qui s’étendent sur douze mois ou encore les séminaires de formations , qui se concentrent sur trois jours et traitent d’un sujet précis, s’adressent à tous les artistes souhaitant se professionnaliser sans critères de sélection au préalable.
“L’objectif d’Art Coach est de remédier à l’instabilité des carrières artistiques, et de rétablir l’équilibre entre les artistes et les collectionneurs. J’œuvre pour le bien-être des artistes, mais également pour celui des collectionneurs, afin de minimiser la dévaluation des œuvres qu’ils affectionnent. C’est ainsi qu’il est essentiel pour les artistes de se professionnaliser.”
Maxime Vignaud
Maxime Vignaud a été initié à la photographie au sein de sa famille, notamment auprès de son grand-père, lui-même Artiste Peintre mais également Photographe. Originaire d’Arles, il a pu visiter pendant des années Les Rencontres de la Photographie lui permettant d’affiner son regard artistique. Sa passion l’a ainsi conduit à étudier un CAP de Photographie et un BTS Audiovisuel afin d’acquérir toutes les bases techniques. Son style photographique construit sur la curiosité s’est ajusté au fil des années. Le Photographe Maxime Vignaud met à notre disposition son sens créatif en incorporant un monde imaginaire dans la réalité. C’est au travers de ses photographies qu’il cherche ainsi à transmettre une part de rêve mais souligne également des sujets intimes en suscitant beaucoup d’émotions. En effet, les paradigmes de chacun sont touchés face aux œuvres de Maxime Vignaud.
Harry Ergott
Le peintre autrichien Harry Ergott est inspiré par les représentants du modernisme, et des expressionnistes abstraits en particulier, ainsi que par l’étude des genres traditionnels tels que le portrait. Ses tableaux sont la symbiose réussie de ses diverses influences artistiques. Dans la série “Figuratif”, Harry Ergott se concentre sur les femmes modernes : déterminées, intelligentes et fortes. Elles sont placées dans des espaces abstraits aux profondeurs multiples. La couleur, qui défie la réalité, souligne également un autre monde et invite le collectionneur à découvrir l’esprit intérieur complexe de ces personnages.
Bertrand Gruyer
Les photographies de Bertrand Gruyer sont le reflet d’une vie de réflexions et d’observations sur tous les aspects de la réalité dans une permanente quête de sens. Les chaines de causalités qui sous-tendent chaque phénomène deviennent pour l’artiste un objet de fascination et d’apprentissage. Comment douter que la vie a un sens, même s’il est hors de notre portée, puisque le sens est partout, révélé par sa dimension esthétique. La simple loi universelle de dispersion de l’énergie est à l’origine de tout ce que nous connaissons. Tout existe parce que tout va se détruire. Le chaos n’est pas notre fin, il est notre matrice. Cette créativité inhérente aux métamorphoses de l’énergie, Bertrand Gruyer va la chercher dans tous les interstices de notre vie quotidienne, là où l’aléatoire règne et où la complexité des causalités est génératrice de formes et d’expressions sauvages. Les photographies de Bertrand Gruyer ouvrent les portes de l’imagination à partir de la simple réalité.
Bruno Palisson
La structuration naturelle de « l’origine de la vie », matières, formes et couleurs premières, sont la base de l’inspiration de l’artiste. Les sujets s’imposent souvent au Photographe comme une évidence après une longue cohabitation, dévoilés par l’émotion, un ressenti, des sensations… Son obsession pour le rapport entre le plein et le vide, l’association entre formes, matières et couleurs détermine son style photographique avec une composition dans un cadre défini. L’Artiste joue avec la géométrie du format carré et compose son cadrage à partir de sa diagonale. Chaque photographie compose ainsi une scène ou un espace. Le format rectangulaire correspond à l’immersion dans l’espace, au mouvement du lieu et à l’histoire photographiée. C’est ainsi que Bruno Palisson partage ses propres visions qu’il associe à une composition abstraite de formes et de couleurs.
Antoine Buttafoghi
Les photographies d’Antoine Buttafoghi sont composées à la perfection autour de l’humain, connecté ou non avec son environnement, dans toute sa diversité. L’artiste joue d’une manière graphique sur les oppositions de couleurs. D’une extrême sobriété, ses photos mettent en scène un être humain « unique » qui semble comme perdu dans l’immensité du monde ; témoignage d’un consentement esthétique à l’attachement au terrestre, au passage du temps, à la singularité de l’Être au cœur du monde. L’artiste capte l’éphémère avec une maîtrise aboutie de l’harmonie, à la recherche d’un équilibre certain.
Hélène Hubert
Le fil d’or du travail photographique d’Hélène Hubert est l’énergie qui anime les natures mortes. Elle capte la lumière et leurs empreintes, révélatrice de cette zone trouble entre l’objet, son reflet et ce qu’il peut représenter. L’artiste fouille tous les espaces où le réel illumine un secret qui n’apparaît peut-être pas au premier abord. C’est avant tout le champ vibratoire d’un objet et/ou d’une situation qui invite la photographe à déclencher son sens artistique de part une fulgurance lumineuse, une pulsion ou encore une émotion. C’est sur cette fréquence qu’Hélène Hubert s’accorde, dans son laboratoire, aujourd’hui au virtuel. Elle dépoussière son fichier photographique pour en découvrir l’infiniment petit ou ” l’un visible ” tel que le définit par le psychanalyste Jacques Lacan sur l’existence des trois registres du Réel, du Symbolique et de l’Imaginaire. Ses photographies traquent les manifestations fugaces de la réalité intérieure des sujets, s’attachant à les rendre perceptibles, tous reliés par une même matière : la vie.
Nathan Soulez-Larivière
Dès son plus jeune âge, Nathan Soulez-Larivière développe un intérêt particulier pour la faune sauvage. C’est lors de ses études de cinéma à l’Université de Montréal que l’image commence à devenir son moyen d’expression en explorant différentes régions des provinces canadiennes et du Grand Nord, puis de l’Amérique Latine (Pérou et Bolivie). Ses photographies témoignent de sa sensibilité à la diversité culturelle et à la beauté de la nature. Les images rapportées lors de ses expéditions constituent ses premières séries photographiques artistiques. L’artiste destine ses œuvres photographiques au service des consciences. Il souhaite documenter la vie sauvage et connecter les Hommes aux paysages encore vierges. La composition de ses photographies transporte le spectateur vers un monde lunaire. En proposant des lieux aussi bien fascinants que terrifiants, l’artiste s’attache à créer un équilibre entre les éléments célestes et terrestres. À travers son objectif, le ciel participe au grand mystère de l’Humanité.
Mireille Lopez
Dès son enfance, Mireille Lopez aime écrire; les lettres lui parlent. Parallèlement, elle dessine et s’évade dans son imaginaire qu’elle cultive au fur et à mesure de sa pratique. Après une formation scientifique et des études supérieures, elle obtient un diplôme de Pharmacien industriel. Sa rencontre avec des œuvres de Cy Twombly, Jack Whitten, Frantisek Kupka, Georges Mathieu, Hans Hartung et Zao Wou-Ki est une révélation picturale qui l’a conduit à laisser libre cours à son penchant premier de créatrice. Mireille Lopez choisit de s’exprimer par la peinture abstraite pour donner corps aux émotions, aux sentiments et aux relations à l’autre en saisissant la beauté et la fragilité humaine. Elle puise sa créativité dans le Vivant.
Florence Sartori
Florence Sartori a placé la Femme au centre de son univers esthétique. Sa démarche résolument tournée vers la vie, suscite l’émotion grâce à des figures féminines intemporelles. Qu’elle soit femme épanouie, guerrière, fragile, ou affirmée, pour Florence Sartori, la Femme est à la fois singulière et plurielle. Elle accorde une place particulière à la cambrure, la tension, l’étirement et l’aisance du corps féminin qui peut prendre une forme équilibrée, symétrique, sensuelle et parfois géométrique. Elle cherche à valoriser la dynamique, l’énergie, la vitalité du corps en mouvement, et à en signifier la liberté, fixant sur le vif, comme un instantané, une attitude naturelle du mouvement pour en restituer la ligne. Cette ligne originelle est épurée et stylisée pour saisir l’essence du corps de la Femme dans ce qu’il révèle de plus universel : courbes et volupté, souplesse et sensualité, équilibre dans l’espace, tension du corps, geste suspendu, déhanché chaloupé ou arabesque aérienne. Ces femmes aux allures de vestales, pleinement féminines et libres, ne se dévoilent jamais vraiment. Simplement de patines vêtues, elles racontent une histoire de Femme.
Alain Le Chapelier
Alain Le Chapelier utilise des appareils photographiques numériques sans autofocus, cela l’oblige à anticiper les situations et à réaliser les réglages en amont pour saisir la photographie au vol dans des ambiances graphiques. Le photographe s’intéresse à la condition humaine, à la ville comme à la campagne. Ses séries se construisent au fur et à mesure des années, captant ses sujets en interaction avec leur environnement. Les photographies d’Alain Le Chapelier sont des témoignages individuels, chaque image racontant une histoire. Ses inspirations lui viennent de Cartier Bresson pour la composition instantanée mais aussi de Willy Ronnis pour l’attente d’un nouvel élément arrivant dans un cadre photographique défini.